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اقصائيات فرنسا 2016

اسبانيا تنهزم من سلوفاكيا

و روسا تفرض التعادل على السويد

Dans quel état d'esprit êtes-vous maintenant que vous avez prolongé votre contrat?
L'objectif prioritaire reste bien entendu pour l'instant l'Euro 2016, avec même un objectif plus précis qui est le premier match des Bleus à cet Euro, le match d'ouverture le 10 juin. Mais c'est un plaisir de pouvoir prolonger l'aventure à la tête de l'équipe de France.

 

«Ça renforce l'idée, ça définit encore plus le cadre et mon autorité.»Etait-ce si important d'officialiser votre engagement sur le long terme?
Comme je l'ai dit après les barrages contre l'Ukraine (les 15 et 19 novembre 2013, ndlr), ça renforce l'idée, ça définit encore plus le cadre et mon autorité, s'il y en avait le besoin. Aujourd'hui, la situation est plutôt bonne. Je le répète, dans la gestion humaine, savoir qu'après une compétition, ce sera le même sélectionneur en place, ça peut aider. Ou du moins, ça peut éviter certains dérapages, même si on n'est pas à l'abri de petites erreurs. La stabilité et la continuité, c'est quelque chose d'important dans le foot, même si c'est difficile à avoir. On va tout faire avec mon staff pour que les résultats soient au rendez-vous.

Et s'ils n'y sont pas, êtes-vous quand même certain de rester en place jusqu'en 2018?
Je pense positif. On m'avait déjà posé la question après la qualification contre l'Ukraine : "Et si ça ne se passe pas bien au Mondial?" Je me positionne aujourd'hui en disant que ça va bien se passer, en disant que tout va se passer du mieux possible. On a déjà vu des sélectionneurs prolongés être licenciés, comme Prandelli avec l'Italie, ou au contraire partir, comme Van Gaal avec les Pays-Bas. Il n'y a pas de solution miracle. Mais l'important est d'avoir de la stabilité et de la confiance. J'ai la volonté féroce de faire tout pour aller le plus loin possible. clik

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